Le lait de vache cumule plusieurs inconvénients :

– C’est un aliment acidifiant et donc conduisant à une déminéralisation (ostéoporose) pour compenser le déséquilibre acido-basique, et peut induire induit des lithiases calciques.

– Le lait est trop riche en phosphore qui hyperstimule les parathyroïdes et trop riche en protéines perturbant l’assimilation du calcium.

– Le lait est indigeste par sa quantité en graisses saturées.

– Le lait est indigeste car l’estomac humain ne possède pas la présure des ruminants (en encore moins chez le nourrisson) permettant de cailler le lait.

– Le lait est indigeste au niveau de son lactose qui induit une intolérance de plus en plus fréquente du fait de la non-possession de l’enzyme lactase (que seuls 40% des adultes possèdent dans le Sud de l’Europe), il est responsable d’une augmentation d’infections (O.R.L, Respiratoire, cutanée) chez l’enfant puis articulaire, vasculaire, endocrinien, neurologique chez l’adulte.

– Le lait fait partie des 3 produits les plus allergènes car (chez le petit ++) les molécules de lait passent la barrière intestinale sans être dégradées (auto-intoxication) conduisant à une perturbation membranaire inflammatoire responsable d’une anémie avec perte de fer.

– Le rapport lysine / arginine du lait de vache favorise une athérogénèse précoce chez l’enfant.

Le lait est fait pour le veau et contient une information spécifique à cette espèce qui n’est pas adéquat pour l’homme donc pourrait perturber le système endocrinien.

– Le lait contient trop peu de lipase pour le nourrisson encore inadapté dans sa sécrétion pancréatique. Une corrélation existe entre la consommation de lait (présence d’E.G. F stimulateur de croissance pour le bébé) et certains cancers / sein, GI (le lait diminue la sécrétion biliaire).

– Le lait est un facteur de fixation des toxiques lipophiles / solvants et métaux lourds.

– Le lait contient des hormones de croissance, des antibiotiques, pesticides et herbicides, dioxines, etc. qu’ont reçus ou mangés les vaches et ceci est encore plus concentré dans les fromages et yaourts (200 fois).

– Des études médicales constatent une relation entre consommation de produits laitiers et maladies auto-immunes / diabète juvénile à cause de l’impact immunitaire perturbant du lait.

– Aucune espèce animale ne consomme de lait après le sevrage.

Pour aller plus loin, je vous invite à tester une éviction pendant un mois, et pourquoi pas à réaliser une fois dans votre vie ce test afin d’améliorer votre bien-être :
https://sonianutrition.com/dosage-de-la-fut2-pourquoi-pour-qui-comment/

Ps : Prenez soin de vous
Sonia Nutrition

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